Crédit immobilier international : peut-on emprunter en France en travaillant pour une entreprise étrangère ?

Travailler à l’étranger ou pour une entreprise étrangère complique l’accès au crédit en France. ZESTIA Lyon accompagne les expatriés et frontaliers pour réussir leur projet immobilier.

Crédit immobilier international : peut-on emprunter en France en travaillant pour une entreprise étrangère ?

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De plus en plus de profils internationaux cherchent à investir ou à acheter leur résidence principale en France. Lyon attire particulièrement : expatriés français qui veulent préparer leur retour, salariés étrangers installés avec leur famille, ou encore investisseurs travaillant à distance pour une société hors de France. Mais une question revient toujours : est-il possible d’obtenir un crédit immobilier en France si l’on est payé par une entreprise étrangère ?

La réponse est oui… mais pas n’importe comment.


Pourquoi les banques françaises sont prudentes

Un salarié en CDI en France, payé en euros, représente un dossier simple et lisible pour une banque. À l’inverse, quand les revenus viennent de l’étranger, les établissements s’interrogent sur :

  • La stabilité du contrat de travail : est-il régi par le droit français ou étranger ?
  • La monnaie de rémunération : euro, dollar, franc suisse, livre sterling ?
  • Le risque de change : un revenu en devise étrangère peut fluctuer fortement, ce qui impacte la capacité de remboursement.
  • La fiscalité : déclarée en France ou à l’étranger ? La banque doit comprendre l’imposition réelle du client.

Certaines banques refusent d’emblée. D’autres acceptent mais demandent plus d’apport, ou appliquent un taux plus élevé.


Les conditions possibles en 2025

Monnaie de salaire

  • Salaire en euros (ex. travail au Luxembourg, en Belgique, en Allemagne) : les banques sont plus à l’aise.
  • Salaire en devise forte (CHF, USD, GBP) : acceptation possible, mais avec une décote du revenu (par exemple 20 %), pour couvrir le risque de change.
  • Devise instable ou exotique : quasiment bloquant en France.

Apport exigé

Un salarié payé à l’étranger doit prévoir en général 20 à 30 % d’apport, contre 10 % pour un résident français classique. Cela sécurise la banque et compense le risque.

Durée et taux

Les durées longues (25 ans) sont plus difficiles à obtenir. 

Les taux peuvent être légèrement supérieurs (0,10 à 0,30 % de plus).


Exemple concret à Lyon

Un ingénieur français basé à Genève, payé en francs suisses (CHF), souhaite acheter un T3 à Montchat pour 350 000 €.

  • La banque retient 80 % de son revenu pour neutraliser le risque de change.
  • Apport demandé : 70 000 € (20 %).
  • Financement : 280 000 € sur 20 ans à 3,30 % au lieu de 3,10 %.
    Résultat : projet financé, mais conditions plus exigeantes qu’un salarié français payé en euros.

Là où ZESTIA Lyon fait la différence

C’est exactement le type de projet où un particulier seul peut se heurter à des refus en série, faute de comprendre les critères bancaires. Chez ZESTIA Lyon, nous combinons deux forces :

1. La chasse immobilière

Nous adaptons la recherche à la réalité du financement. Inutile de vous présenter un appartement à 400 000 € si, compte tenu de votre situation internationale, la banque ne financera que 300 000 €. Nous calibrons en amont : budget, apport, typologie recherchée. Cela évite les mauvaises surprises et les compromis qui tombent à l’eau faute de crédit.

2. Le courtage en prêt immobilier

Nous travaillons avec des partenaires bancaires habitués aux profils internationaux (frontaliers, expatriés, salariés en entreprise étrangère). Nous savons à quelles banques présenter votre dossier, comment valoriser votre situation, et quels justificatifs préparer pour gagner du temps.

  • Nous expliquons les écarts de change et les sécurisons.
  • Nous intégrons votre fiscalité dans l’analyse de solvabilité.
  • Nous négocions l’apport et les conditions en fonction du profil (expatrié vs frontalier).

En résumé : vous avez un dossier solide et crédible là où, seul, vous auriez pu être considéré comme trop “risqué”.


Conseils pratiques pour réussir

  1. Anticipez l’apport : prévoir au moins 20 % pour un dossier rassurant.
  2. Centralisez vos justificatifs : contrats, bulletins, avis d’imposition — et traductions certifiées si nécessaire.
  3. Soyez réaliste sur le budget : les banques appliquent parfois une décote de revenu, donc mieux vaut viser 10–15 % en dessous de votre budget théorique.
  4. Passez par un courtier spécialisé : sans appui, les refus successifs peuvent décourager et faire rater une belle opportunité.

Conclusion

Oui, il est possible d’emprunter en France en travaillant pour une entreprise étrangère. Mais cela demande une préparation minutieuse, un choix de banque adapté et souvent un apport renforcé.

Chez ZESTIA Lyon, nous faisons le lien : nous calibrons votre budget immobilier grâce à la chasse, et nous sécurisons le financement international grâce au courtage. Résultat : vous pouvez acheter en toute confiance, même si votre fiche de paie n’est pas française.

Parlons de votre stratégie dès aujourd’hui ! 👉 www.lyon.zestia.fr