L’impact du scoring environnemental (DPE, étiquette verte) sur les conditions de crédit

Le scoring environnemental change les règles du crédit immobilier. À Lyon, ZESTIA Lyon anticipe l’impact du DPE pour sécuriser achat et financement.

L’impact du scoring environnemental (DPE, étiquette verte) sur les conditions de crédit

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Le DPE n’est plus un papier qu’on range dans un dossier : depuis 2021, il a une vraie valeur juridique. Et depuis 2023, il influence directement le marché, avec l’interdiction de louer les pires passoires énergétiques (classe G+). En conséquence, il est devenu un véritable critère bancaire. Les établissements de crédit, sous la pression des régulateurs et de la BCE, intègrent désormais la performance énergétique d’un bien dans l’analyse des dossiers. Résultat : acheter un logement classé “vert” (A, B, C) ne coûte plus le même prix qu’un logement classé “passoire” (F, G).


Quand la banque se met au vert

Concrètement, les banques tiennent compte de deux aspects :

  1. La valeur patrimoniale : un bien mal classé risque de perdre de la valeur à la revente. La banque anticipe donc un risque de garantie.
  2. La capacité de revente et de location : avec l’interdiction progressive de louer les passoires thermiques, les biens F et G deviennent moins liquides.

Certaines banques appliquent déjà des bonus/malus de taux ou d’apport. Exemple :

  • Logement étiquette A ou B : taux minoré de quelques dixièmes de point, ou apport demandé plus faible.
  • Logement étiquette F ou G : taux identique mais assurance plus chère, apport plus élevé, ou tout simplement refus du financement.

Des chiffres qui parlent

Selon la Banque de France, près de 17 % du parc immobilier français est encore classé F ou G. À Lyon, cela représente plusieurs dizaines de milliers de logements anciens. Dans le même temps, une étude SeLoger montre que les biens classés A ou B se revendent en moyenne 5 à 15 % plus cher que des biens identiques classés E ou F. La prime verte existe déjà dans les prix, et les banques ne font qu’amplifier cette logique.


L’effet pour l’acquéreur à Lyon

Un couple qui souhaite acheter un T3 à Montchat de 70 m² classé D n’aura pas le même montage financier qu’un autre couple visant un T3 identique mais classé B. Le premier risque d’avoir une mensualité légèrement plus élevée (taux +0,10 % ou assurance ajustée), tandis que le second bénéficiera d’un dossier “facile” à passer, avec même la possibilité de négocier une délégation d’assurance avantageuse.

Autre conséquence : le reste à charge des travaux. Si vous achetez un bien F ou G, la banque peut exiger un plan de financement des rénovations (isolation, chaudière, fenêtres). Sans devis ni budget clair, le prêt peut être bloqué.


Où intervient ZESTIA Lyon

C’est précisément là que notre double expertise fait la différence :

Côté chasse immobilière

Nous intégrons dès la sélection des biens le critère énergétique. Plutôt que de vous laisser découvrir après coup qu’un bien est une “passoire” difficile à financer, nous filtrons en amont. Dans certains cas, nous identifions des opportunités intéressantes : un bien mal classé mais dont les travaux sont techniquement simples et rapidement valorisants. Cela permet d’acheter décoté et de créer de la valeur.

Côté courtage en prêt

Nous construisons un dossier complet et crédible pour la banque :

  • Mise en avant de la performance énergétique si le bien est bien classé (argument fort pour obtenir un meilleur taux).
  • Intégration de devis de rénovation énergétique si le bien est mal classé, pour montrer que le plan de financement est solide.
  • Simulation claire du avant/après travaux (nouvelle étiquette, loyers attendus, valeur de revente).

Concrètement, nous ne déposons pas le même dossier qu’un particulier seul. Nous parlons le langage des banques et nous anticipons leurs critères “verts”.


Stratégie gagnante pour 2025-2026

  • Primo-accédants : privilégier les biens au minimum D, sauf si vous avez une enveloppe travaux financée par l’éco-PTZ.
  • Investisseurs : viser le D pour sécuriser le locatif long terme. Si vous prenez un F ou G, c’est uniquement avec une stratégie claire de rénovation rapide.
  • Reventes : anticiper l’effet “prime verte” : un appartement rénové et classé C se revendra plus vite et plus cher, ce qui rassure la banque dès l’achat.

Conclusion

Le DPE n’est plus une ligne administrative : c’est un levier bancaire. Les biens performants bénéficient de conditions de crédit plus favorables, tandis que les passoires voient leur financement se complexifier.

Chez ZESTIA Lyon, nous faisons le lien : identifier les bons biens (ou les bonnes opportunités de rénovation) et sécuriser le financement qui va avec. Résultat : vous n’achetez pas seulement un logement, mais un actif solide, bien financé, et aligné avec les nouvelles exigences du marché.

Parlons de votre stratégie dès aujourd’hui ! 👉 www.lyon.zestia.fr